Callidora Blackburn
► messages : 34 ► date d'inscription : 01/05/2009 ► pseudonyme : paperweight. ► métier/études : journaliste.
Feuille de personnage ► relations: ► âge du personnage: vingt-quatre ans. ► groupes.: Habitants.
| Sujet: ANDREA HOPKINS • can't you leave me alone? (free) Dim 10 Mai - 22:46 | |
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[img][/img] ►© MADE BY | Andrea Hopkins ▬ 26 ans - policier. Arrogant - Sympathique - Joueur - Déterminé - et comme vous voulez. AVATAR • en réfléxion.
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Nature de la relation ▬
Alors en résumé, il est policier, elle est journaliste. Elle a plusieurs fois été emmenée au poste de police. La cause? Tapage nocturne. Elle n'est pas très 'relation sérieuse' et pourtant, il la veut toute à elle. Pas étonnant qu'il n'apprécie guère Christopher Vertigo. Il fait tout pour que la jeune femme succombe à son charme et pour le moment, il ne s'en tire pas trop mal, bien qu'elle ne veuille pas le montrer. Voilà, si vous avez le courage de lire:
- Spoiler:
▬ Cette nuit-là au poste. Woody Wagner et un ami, enfin quelqu'un quoi. Salle d'interrogatoire, un policier (qui en fait des tonnes). Idiot. Double idiot. Triple idiot. Mais quel salaud. « On commence par la demoiselle. Nom et prénom ? » « Je m'appelle Wagner. Woody Wagner. » « Du sérieux. Votre âge ? » « Très indiscret de votre part, mais 24 ans. » « Raison de votre présence au poste ? » « Voisins aigris, méprisables. » « Raison de votre présence au poste ? » « Tapage nocturne, enfin je crois. » Quel imbécile. Pourtant, il n'était pas mal dans son genre, plutôt mignon, un gabarit imposant mais pas trop, un corps sur lequel se dessinait une parfaite musculature - oui parce que j'ai l'oeil pour ce genre de choses. Pas d'anneau à l'annulaire. Libre ? Ca tombait bien, moi aussi. Oh oui, c'est certainement pas de lui que vous auriez aimé que je parle, pourtant... Bref, oui mes fameuses nuits au poste, je ressortais bien vite, les agents savaient que je n'étais pas dangereuse et que mes voisins étaient vraiment de grotesques personnages. Apparemment lui était nouveau. Je ne l'avais jamais vu, il n'est pas difficile à remarquer pourtant. S'il était là depuis un moment, il aurait sû qui j'étais et m'aurait renvoyé illico presto et aurait menti pour rassurer les abrutis qui me servaient de voisins. Je n'avais peur de rien, j'étais une rebelle. Oh aujourd'hui, ça n'a pas changé vous savez. Les cheerleaders avec leurs chorégraphies sans intérêts et qui ne leur rapporteront rien, à part l'erreur de coucher avec un de ces joueurs de football, plus immatures les uns que les autres. Ca sent le vécu, et bien j'ai été une de ces filles. Croyez-moi je le regrette. Une chute et c'en était terminé pour moi. Oh et les joueurs de l'Université de Californie (oui parce que je suis de la Californie), je les ai tous connus et je m'en serais passé. Je ne sais pas s'ils sont comme ça ici, mais les préjugés, j'en ai beaucoup et envers de nombreuses personnes. Je n'y peux rien. Je ne critique pas, je constate et j'aime ça. Je suis quelqu'un de difficile, c'est vrai. Ah mais où en étais-je ? Mais oui, le poste de police. « Peut-on s'en aller ? » « Lui oui, ALLEZ DEHORS. Mais vous... vous restez encore un peu. » « EH, je crois que vous ne me connaissez pas encore. » « Calmez-vous. On peut y remédier. BON, répondez à mes questions. » « Mouais. Tu parles d'une injustice. » « Célibataire ? Fiancée ? Mariée ? » « Huh, quoi ? Vous vous fichez de moi ? » « Répondez, ou vous allez devoir rester ici cette nuit. » « Célibataire. En quoi ça vous intéresse ? » « Je m'intéresse à mes délinquants. Répondez, sans réfléchir. » « Vous vous foutez vraiment de moi ? » « Vous me détestez ? » « Je vous hais. » « Mais vous sortiriez avec moi quand même ? » « Oui. Oh, qu'est-ce que je viens de dire là ? » « Disons demain soir. Je vous appelerai, vous pouvez partir. » « Vous n'avez même pas mon numéro. » « J'ai votre dossier avec l'adresse et le numéro. » « Je ne vous ouvrirai pas et je ne décrocherai pas le téléphone. » « Je trouverai un moyen. Va-t-on croire un policier ou une belle jeune femme qui ne cesse de créer du remue-ménages dans son appartement ? « A demain. » « Je le savais. Vous ne pouviez pas refuser. » Voilà vous avez fait ma connaissance. Woody Wagner, vingt-quatre ans, barmaid, ex-cheerleader, rebelle, grande gueule, insupportable, impitoyable, incorrigible, vous aurez compris qu'il ne vaut mieux pas me chercher des poux.
▬ Nouvelle soirée au bar. Nouveaux clients. Même barmaid: moi.J'aurai pu trouver un meilleur emploi, mais celui-là me convient parfaitement et répond à tous mes besoins. La seule chose que j'ai un tant soit peu de mal à supporter est la présence continue du policier que j'ai rencontré l'autre jour. Il est toujours là, évidemment je ne peux pas le virer, il fait rentrer de l'argent dans la boîte, puis malgré le fait qu'il soit insupportable, c'est un client comme les autres. Bon, le truc c'est que je ne suis pas allée à la soirée à laquelle il m'avait invité pendant ce qui devait être un interrogatoire. J'avais éteint les lumières, fermé la porte à clé et le tour était joué. Il est venu me voir au bar le lendemain. J'ai trouvé une excuse bidon, comme toujours. Et il n'a pas cessé de se pointer depuis ce jour-là. Tu parles d'une chance. « Bonsoir, je vous offre un verre ? » « Je travaille ici. J'ai pas besoin de ça. » « Et si VOUS m'offriiez un verre ? » « Ca dépend. » « Ca dépend de quoi ? » « Vous le payez ou non ? » « Quelle amabilité. Vous êtes tarée. Vous l'a-t-on déjà dit ? » « Souvent. Je vous aime aussi. » « Déjà ? Il est un peu tôt pour les déclarations d'amour, non ? » « Espèce d'égocentrique. » Je le déteste, mais s'il ne venait pas me rendre visite chaque jour au moins une dizaine de minutes, je m'ennuierais réellement. Un peu de compagnie, ça ne fait de mal à personne. Même pas à moi, c'est pour dire. Enfin, je n'irai pas jusqu'à dire que je l'apprécie. Cela va faire plus de trois mois qu'il vient dans ce lieu, je ne sais pas pourquoi. Pour le plaisir de me mettre en rogne ou simplement par amour de la boisson ? Je le lui ai donc demandé, autant connaître la vérité. « Pourquoi venez-vous chaque soir ? » « Pour boire et oublier mes problèmes. » « Et c'est... tout ? » Merde. « Oh, d'accord. Non, je viens aussi pour vous. » « N'avez-vous pas d'autres chats à fouetter ? » «Je préfère largement votre compagnie. Vous êtes tout à fait le genre de jeune femme que je déteste d'habitude. Et pourtant, j'ai l'impression que vous en valez la peine. » « Je vaux la peine de quoi ? » « Que j'abandonne mes amis, ma famille pour venir vous voir. » « Hé, je ne vous ai rien demandé. » « Je sais. Vous êtes différente ce soir. Plus... femme. » « Dois-je prendre ça comme un compliment ? Non, dites-moi. » « Absolument, vous êtes magnifique. » « Oh voyez-vous cela ? Un Roméo est parmi nous. » « Vous n'étes jamais sérieuse ? » « Jamais. » « Ouch. Je n'abandonnerai pas. A demain. »
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